Je ne peux pas me resigner a quitter la Dominique. Je change a nouveau mon tiquet de bateau pour le 28.
Toujours ce meme cybercafe. A l exterieur il pleut. Les toles du toit font office de passoire. Et le sol se peuple de seaux et recipients en tout genre entre les cables electriques.
Je rencontre quelques francais installes sur l ile. Ils se sont jures de ne jamais plus remettre les pieds en Europe.